Condensé d'un article de Marc Pantalacci.
La civilisation occidentale a longtemps atrophié le côté droit - sensitif et intuitif - de notre cerveau, au profit du gauche, celui qui dissèque et analyse.
Cette attitude réductrice a eu comme effet de limiter notre compréhension de l'homme et des maladies au seul plan physique, au seul niveau du symptôme
et du lésionnel que l'on cherche à supprimer avec l'arsenal médicamenteux de la pharmacopée chimique et des vaccinations.
L'identité, c'est le référentiel indispensable, l'image enfouie en nous-mêmes, qui peut être un acquis, ou simplement le fruit d'une éducation ou d'un conditionnement. Les réflexions qui nous permettent d'élargir notre champ d'investigation ne peuvent venir que par une prise de conscience de l'environnement dans lequel nous vivons, et de la Création à laquelle nous appartenons.
Pourquoi le malade a-t-il perdu, à un moment donné, son identité, pourquoi ce déficit immunologique est-il apparu et par rapport à quoi ? C'est au médecin à prendre réellement conscience de cette manifestation d'un être qui s'exprime à travers son corps, afin de mettre en évidence les différents paramètres qu'il faut traiter dans des systèmes en connexion étroite les uns avec les autres.
Il est certain que les thérapeutiques actuelles permettent de juguler, de compenser certains états, mais il faut réellement une compréhension beaucoup plus profonde de l'homme dans son existentialité et dans son devenir. Il faut redonner la place à l'homme dans son environnement, pour qu'il prenne conscience de son identité, qu'il monte son niveau de conscience pour retrouver en lui-même cette parcelle de divin qui ne demande qu'à s'exprimer à travers tout son corps, à travers chaque cellule, à travers chaque atome, à travers chaque électron, chaque proton, chaque éon.
Etre réellement soi-même, c'est prendre conscience de son identité profonde. C'est prendre conscience de sa relation avec la Création. C'est, sur un plan immunologique, être totalement équilibré et avoir chaque organe en totale connexion avec le voisin. Le principe de l'identité est un principe de reconnaissance, c'est-à-dire : reconnaître et se faire reconnaître. L'homme, avec ses organes multiples, peut être considéré comme un système à part entière, totalement sous l'influence des énergies qui animent la matière. Chaque organe qui participe à l'unité de l'individu est en relation avec l'autre dans une harmonie parfaite, sauf si certains éléments qui le guident viennent interférer sur son équilibre.
Il existe une interdépendance continue entre l'homme et la Création, de même qu'il existe une interdépendance permanente entre les cellules et le corps de l'homme. Accéder à la connaissance de l'un, c'est du même coup accéder à la compréhension de l'autre. La seule approche matérialiste ne peut traduire la réalité du "champ morphique" et informationnel qui contient toute la mémoire, l'hologramme de l'être humain et de l'univers en expansion. Nos "récepteurs" doivent se mettre en phase avec la nouvelle fréquence des énergies cosmo-telluriques, sinon ces dernières ne feront qu'accentuer les effets iatrogènes inhérents à toute action thérapeutique.
Depuis des années, les généticiens savent que des changements se produisent dans l'ADN.
Ils ont constaté que des hélices d'ADN se sont ajoutées chez des personnes adultes. Cela irait de pair avec des changements dans la conscience.
Nous sommes en train de faire un saut d'évolution, et pourtant la grande majorité de l'humanité n'est pas informée des changements qui ont lieu ! Tout le monde a une double hélice d'ADN.
Ce que nous découvrons, c'est qu'il y a d'autres hélices qui sont en train de se former. Dans la double hélice, il y a deux brins d'ADN torsadés en spirale. Ces changements ne sont pas publiquement connus, parce que la communauté scientifique a l'impression que cela effraierait la population.
Ces personnes passent à travers des changements majeurs dans leur conscience et dans leur corps physique, parce que tout cela ne fait qu'un. Ainsi, la Terre et les êtres humains élèvent leur vibration".
On sait aujourd'hui que des milliers de personnes, ayant contracté le sida, finissent par s'en débarrasser et se retrouver avec un système immunitaire renforcé, dû probablement aux quatre cordons d'ADN supplémentaires découverts chez elles. Les médecins de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA) ont suivi un garçon né avec le virus du sida. L'enfant a successivement été examiné à sa naissance, à 6 mois et à 1 an. Ensuite encore à 5 ans et, cette fois, il fut constaté que toute trace du virus avait disparu. Médecins et spécialistes se posèrent beaucoup de questions et finirent par examiner l'ADN du jeune garçon. Ils découvrirent que l'enfant avait 24 cordons de son ADN actifs au lieu de 20 comme chez les êtres humains dits "normaux". On examina ensuite son état immunitaire. Il semblait que l'enfant était préservé contre tout. Et l'on découvrit que son système immunitaire était 3 000 fois plus fort que chez le commun des mortels !
Des recherches s'ensuivirent pour voir s'il y avait d'autres cas de mutation de ce genre. En effet, on en découvrit 1, puis 100, puis 1 000. A l'Université de Californie, on croit à présent que plus de 1 % de la population mondiale pourrait être dans ce cas. Nous assisterions à un phénomène d'immunité spontanée jamais observé précédemment.
Aujourd'hui, la découverte de nouveaux ADN chez l'homme témoigne de manière tangible des travaux de chercheurs qui ont perçu le changement vibratoire des énergies cosmiques et leur influence progressive sur les êtres vivants.
Les niveaux vibratoires des êtres humains varient au cours de leur développement de la naissance à la mort : d'une manière générale, tout être humain peut accroître son niveau vibratoire et ultérieurement son niveau de conscience, s'il réussit les phases de renouvellement qui ponctuent sa vie en moyenne tous les sept ans.
Les niveaux vibratoires des êtres humains varient au cours de leur développement de la naissance à la mort : d'une manière générale, tout être humain peut accroître son niveau vibratoire et ultérieurement son niveau de conscience, s'il réussit les phases de renouvellement qui ponctuent sa vie en moyenne tous les sept ans.
Aujourd'hui il appartient à la médecine d'intégrer cette dimension holistique qui prend en compte la totalité de l'approche du Vivant, dans sa réalité double : biologique et vibratoire.
Pour permettre la guérison, il faut atteindre le lieu de la conscience pure, la fréquence vibratoire qui n'est jamais touché par la maladie, car la maladie n'est qu'un phénomène purement somatique. Rappelons que la maladie n'est pas une agression d'un agent extérieur qu'il convient de combattre, mais l'expression d'un conflit intérieur, un défaut dans le réseau de vibrations dont nous sommes constitués. La médecine de conscience a pour but de rétablir l'émission correcte des vibrations, par un accès direct au cœur de Vivant.
Il y a des milliers d'années, la science et la philosophie orientales ont eu l'intuition de ce que la "Science élargie" est en train de redécouvrir. C'est de la conjugaison de ces deux médecines que naîtra la médecine du futur, celle de l'homme médiateur du Ciel et de la Terre. Car nous sommes entrés dans le "Temps des mutants". Et il y a nécessité de changer de paradigme, d'être conscient de la manifestation, en refusant le "consommer-mourir" pour la voie de la conscience, de la liberté et de la responsabilité.
Marc J. Pantalacci
Diplômé en acupuncture traditionnelle (CREAT)
Ceci est un résumé. Vous pouvez consulter la totalité de l'aricle sur le blog La santé activée