Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, tout s’accélère. Les changements sont de plus en plus rapides. En un an nous créons plus que les derniers siècles. Nous avons accès au plus petit comme au plus grand. Et la chose la plus étonnante, nous savons que l’esprit influence la matière et que chaque chose a une fréquence vibratoire. Par exemple un médicament possède une fréquence, si nous savons recréer cette fréquence nous pourrons soigner, non seulement sans prendre de médicament, mais aussi sans les effets secondaires des médicaments.
Tout s’accélère dans le sens du bien et du mauvais et nous sommes incapables de maîtriser ce que nous créons. Le plastique est un bon exemple. Nous créons un produit qui pollue et nous ne savons pas nous en débarrasser. Et que dire des déchets radio actifs. Tout le monde ment à tout le monde. Par exemple quand on dit qu’une voiture ne pollue pas c’est faux. Une voiture dite non polluante est composée de matières non recyclables, donc polluantes. Je viens de lire que si tous les français roulaient en voiture électrique il faudrait construire 8 centrales atomiques pour nous satisfaire.
Nous sommes obligés de changer
Cela nous ne l’avons pas choisi. Nous y sommes contraints. Tout ce qui semblait fonctionner jusque maintenant ne fonctionne plus. Tous nos systèmes ne fonctionnent plus. Pourquoi, parce qu’ils sont issus du cerveau gauche celui qui rationalise tout. Nous sommes les champions de la rationalisation. Rationaliser, c’est comme écouter son cerveau sans écouter son cœur. Je produis pour produire. Ce que je fais, je le fais pour avoir plus et non pour être plus.
C’est cela qui en train de changer. L'économie, l'éducation, la santé, la politique, la spiritualité sans conscience ont créés ce monde, matérialiste. Alors qu’il est avant tout spirituel. Spirituel cela signifie que c’est notre esprit qui crée.
Il y a quelques décennies nous subissions l’emprise des grandes religions. Je dis l’emprise car le message originel a été complètement détourné. Le message d’amour de Jésus a été transformé en celle d’un dieu mort sur une croix. Jésus ne dit jamais qu’il est le fils de Dieu, mais 64 fois qu’il est le fils de l’homme. Quand Jésus parle de son Père, il ne dit jamais le mot « Dieu ». Le Père ici est un niveau de conscience supérieur (dans le sens d’une plus grande conscience). Par exemple quand il dit « Moi et le Père nous sommes Un », cela signifie qu’il ne fait qu’un avec cette conscience supérieure. Je dis bien conscience, cela signifie que Jésus est conscient qu’il possède un pouvoir et que ce pouvoir nous ne le possédons tous.
« Celui qui me fait confiance fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes » Et ce pouvoir ne s’arrête pas à la mort. C’est à la Pentecôte que ce pouvoir s’est transmis à ces disciples.
Alors Dieu ou pas Dieu.
L’apôtre Jean nous dit : « Ce que nous appelons Dieu, c’est l’Amour et celui qui est habité par cet amour habite en Dieu et Dieu habite en lui. Cela signifie que ce que nous appelons Dieu c’est l’Amour désintéressé (Agapè en grec).
Pour simplifier, Dieu n’est pas un être supérieur qui déciderait de notre sort. Il n’y a pas de dieu. Par contre il y a un état de conscience qui exprime l’Amour désintéressé. Cet état est capable de tout transformer.
La nouvelle conscience nous dit que pour qu’une pensée soit créatrice, il faut que notre pensée soit liée à une émotion. Ce qui signifie que mon état d’esprit doit s’accorder à la pensée que j’émets.
Aujourd’hui, non seulement c’est de plus en plus évident, mais en plus c’est démontrable. Il suffit de faire l’expérience du riz. On met du riz cuit dans deux récipients différents. Sur le premier on dit « je t’aime » en passant devant et sur le second « je te déteste ». Au bout de quelques jours le second riz moisit alors que le premier reste sain. Le Verbe s’est fait chaire. La parole s’est réalisée, s’est faite réalité.
Notre défi est de passer de la croyance religieuse à l’expérience spirituelle. Cela signifie que je ne dois pas croire un dogme mais vérifier si ce que l’on m’enseigne est vrai. Et cela ne peut se faire que par l’expérience.
Et si tous les matins je disais « je t’aime » à mes cellules.
L’homme nouveau est celui qui va passer de la croyance apprise à l’être authentique qui vit sa spiritualité. Pour l’instant il est comme l’adolescent qui commence à comprendre qu’il est adulte sans l’avoir encore intégré. De nouvelles énergies l’habitent le secoue, le transforme, à la manière d’une chenille qui va devenir papillon. Il est encore en train de tâtonner, peut-être encore de ramper, mais bientôt ses ailes vont se déployer et il va prendre son envol.
Aujourd’hui, nous avons des difficultés à assimiler cette évolution mais cela sera facile pour nous enfants. Les enfants actuels sont plus éveillés, comprennent mieux et plus rapidement.
L’homme nouveau est celui qui prend conscience qu’il est créateur de sa propre réalité. Ce n’est pas celui qui attend d’un dieu extérieur que sa vie change, mais celui qui se met en marche et qui fait ce qu’il faut pour que sa vie change. Ce n’est pas en agissant sur l’extérieur que quelque chose va changer mais en agissant sur l’intérieur, sur le « Je suis ». « Je suis » est la lumière du monde.
Quelle est la réalité intérieure que je crée à chaque instant ?
Est-elle remplie de Paix, d’Amour, de Joie et de Lumière ?
L’homme nouveau est celui qui à la fois harmonise cerveau gauche (action, droiture, direction, concrétisation) et cerveau droit (ouverture, accueil, créativité et sensibilité) tout en suivant l’axe (Kundalini) qui part de la terre au ciel, de la Source à la Lumière.
En faisant cela je deviens Source.
Qu’est-ce que je crée ?
Un ancien dicton dit :
Tu es ce que tu manges, tu es ce que tu vois,
tu es ce que tu penses, tu es ce que tu ressens !
C’est là où le mystique rejoint la réalité quantique.
- La qualité de ma nourriture crée ma structure physique et influence mon comportement, mes pensées et mes émotions.
- Si je regarde des films de destruction, violence, pauvreté, injustice ils vont influencer mon comportement, mes actions, mes pensées, mes émotions et inversement.
- Il en est de même pour ce que je pense, je lis, j’écoute.
- Est-ce que j’éprouve de bonnes ou de mauvaises émotions.
Lé réalité quantique et les dernières expériences sur le cerveau nous disent que ce que nous pensons et ressentons nous le créons. Et nous seulement nous le créons mais nous modifions la structure de notre cerveau.
Ce que vous lisez, les problèmes auxquels vous pensez, les émotions que ressentez de manière répétée créent votre réalité, influencent votre corps, votre structure physique, votre système nerveux et votre comportement.
Et si je commençais maintenant ?
Que se passerait-il
- Si j’étais reconnaissant envers moi-même, envers ce que suis ?
- Si je m’aime avec mes qualités et mes défauts ?
- Si je deviens de plus en plus bienveillant envers moi-même et envers les autres ?
Est-ce que ce serait bon pour moi ?
Est-ce que ce serait joyeux ?
Est-ce que ce serait créatif ? Qu’est-ce que cela créerait ?
Est-ce que ça engendrerait du bonheur ?
Est-ce que ça ne serait pas merveilleux ?
Si je prends conscience que je suis Source,
- Je m’ouvre au champ infini des possibilités.
- Je crée ma vie, je ne la subis plus.
- Je ne cherche plus la lumière, je deviens la lumière.
Pascal Cadart
Masaru Emoto a publié plusieurs ouvrages présentant des clichés de différents cristaux de molécules d'eau dans diverses situations. Emoto interprète ces clichés comme des preuves que les cristaux réagissent par des changements de structure à diverses influences, celles de la musique, de Jean-Sébastien Bach ou de hard rock par exemple, ou à celle de simples mots comme « merci », « gratitude » ou « haine ».