Entretien avec Anne Gevaudan
Nous avons de plus en plus de contact avec l'invisible sous tout un tas de formes différentes.
Anne Givaudan raconte comment elle a vécu ses premières expériences de décorporation et ses premiers voyages astraux vers d'autres dimensions non matérielles.
Elle nous explique qui elle a pu rencontrer lors de ses expériences, et quels sont les nombreux enseignements qu'elle a pu en rapporter sur la vie après la mort, sur l'existence de civilisations avancées dans l'univers, et sur la vie ici et maintenant.
Voici 2 extraits initiatiques et pertinents tirés de cette vidéo
:
Extrait d’entretien avec Elan Sarro (Auteur de méditations guidées) :
« Moi, je crois, dans le fait, que l’on attire à nous, ce qui s’émane de nous. Si je vibre la dysharmonie, il y a plus de chance que j’attire des choses disharmonieuses dans ma vie et ces choses seront quelque part le reflet de ce que je suis moi-même, effectivement. On peut le dire, mais on peut surtout l’expérimenter, parce qu’à un moment donné, il y a les croyances et il y a ce qu’on vit. Et, dans ma pratique, une fois que l’on commence vraiment à observer les choses, on voit que, si on n’a pas réglé quelque chose, on risque de l’attirer, comme des situations récurrentes qui reviennent, toujours le même type de confrontations avec les gents, de choses qui nous sont dites. Par contre, une fois qu’on a LÂCHÉ PRISE, qu’on a guérie la cause qui finalement se manifestait en tant que conséquence à l’extérieure, elle ne se manifeste plus parce que le monde des causes est toujours en nous. Le monde extérieur est le monde des conséquences. Si je guéris la cause, la conséquence ne se manifeste plus effectivement. Et le problème c’est que la personne, quand elle a peur, elle va vibrer la peur et elle va attirer des circonstances qui lui donneront raison d’avoir eu peur. Elle va dire : « Ah ! Ben j’avais raison d’avoir peur puisque ça s’est manifesté », sans savoir que c’est elle qui a produit la chose, qui l’a attiré. Alors qu’effectivement, si l’on a peur, il faut aller voir pourquoi l’on a peur. Est-ce qu’on a souffert du manque quand on était plus jeune, peut-être qu’on a hérité de mémoires aussi au niveau du manque. Nos ancêtres ont manqué et puis l’on a hérité de cela. Mais ce n’est pas parce qu’on l’a hérité, qu’on a vécu ça dans l’enfance, qu’on doit vivre avec, toute sa vie et que l’on doit attendre que ça se compense à l’extérieur pour ne plus être dans cette sensation de manque. Souvent les gens attendent que ça change à l’extérieur pour être dans le bonheur, dans la joie et du coup, ils conditionnent leur état d’être aux circonstances extérieures et ils perdent leur pouvoir. Ils donnent leur pouvoir au monde extérieur, aux autres.
Dans la méditation, dans la voie spirituelle, en générale, on va se réapproprier nos pouvoirs par la prise de notre responsabilité pleine et entière dans ce qu’on crée ».
Extrait partage avec Anne Givaudan :
« …Et on ne s’imagine pas quand on est sur le plan physique parce qu’on ne les voit pas, qu’à chaque fois qu’on émet une pensée, l’on crée un monde. …Dans les enseignements qui nous étaient donnés il y a 2000 ans, quand vous prononcez une parole, vous crée un monde, quand prononcez une parole, vous crée un univers,…, chaotique ou harmonieux, selon ce que l’on a émit, donc, nous sommes des créateurs. C’est extrêmement important de reprendre notre pouvoir et je pense que dans l’ère qui vient, une des choses extrêmement importante, c’est pour cela que nous passons beaucoup de temps aux pensées, aux formes pensées, ça va être la gestion, c’est à dire reprendre le pouvoir sur nos pensées. Ne plus laisser inconsidérément nos pensées partir dans tous les sens, de ne pas créer n’importe quoi comme pensée,…. Redevenir maître de nos pensées et de nos émotions et à ce moment là on va crée des mondes qui ne sont pas chaotiques…. »…
« … Maintenant, on va dire effectivement, bon ben est-ce qu’il faut ignorer complètement toutes les choses négatives ? Non, pas du tout. Au contraire, quelqu’un d’informé est quelqu’un qui va être de plus en plus libre, il faut absolument être informés, il faut AGIR, non pas RÉAGIR, mais agir. Mais, on ne peut pas agir contre. Par exemple, quand on dit je vais agir contre la faim dans le monde, à ce moment là, on nourrit la faim dans le monde. Quand on dit, j’agis pour que les gens aient suffisamment à manger, à ce moment là, on agit. Alors, extérieurement ça va sembler être la même chose, intérieurement, c’est complètement différent et l’énergie déployée va être complètement différente. Dans nos quotidiens, on n’a pas à être contre quelque chose, il faut qu’on regarde vers quoi on veut aller ? Quel est notre objectif ? Qu’est-ce l’on a envie de voir sur terre, sur une nouvelle terre,….., donc où que vous soyez, quoiqu’on fasse, quoique vous fassiez, c’est bien de le faire. Ce n’est pas ça le problème, mais c’est important de ne pas le faire contre un gouvernement, contre quelque chose, par contre, d’être informé oui et de le faire en conscience en se disant moi qu’est ce que j’ai envie de voir sur terre ? Qu’est-ce que j’ai envie de faire sur terre tous les jours ? Comment j’ai envie que mes enfants voient la planète ? Comment j’ai envie qu’ils vivent ? Alors, acceptez de ne pas tout savoir faire. On n’est pas là pour sauver la planète, on est là déjà pour donner une énergie positive à notre environnement et ça c’est important parce que si jamais autour de soi, on arrive a générer de l’Amour, de la joie, en acceptant aussi de pouvoir être triste, accepter d’être ce que l’on est tout simplement, à ce moment là, la planète va changer. Mais, on ne va pas être « le » sauveur de la planète. Ce sont des titres qui n’ont plus lieu d’être. On n’a pas besoin de gourou, on n’a pas besoin de sauveur, on n’a pas besoin de suivre des instances, à nouveau de donner notre pouvoir à d’autres personnes. C’est se dire, ben oui on est divin, on est tous divin, mais cette divinité, et bien voilà : RÉVEILLONS-LÀ ! »…..