"Dites-leur que la mort n’existe pas", ce livre écrit par François Brune est un condensé de lettres ‘écrites’ par Jean Winter et Gerald de Dampierre, depuis l’autre côté du voile, et qui raconte leur vie dans l’au-delà via leur mère et grand-mère. En le lisant, j’ai retrouvé de nombreuses corrélations avec les enseignements que j’ai déjà reçu et pu vérifier lors de voyage astral.
Notamment, que la vie sur terre n’est qu’un passage pour ‘occuper’ notre vie et surtout venir monter notre taux vibratoire, afin de nous permettre, lorsque nous repartons, d’avoir plus de possibilités de visiter les autres mondes et d’aider encore plus (pas de repos éternel, mais un labeur d’amour à la hauteur des possibilités de chaque âmes…).
Il y est dit de porter notre attention sur l’empreinte que nous laissons pendant notre passage, car c’est d’elle que dépend la qualité de notre futur monde, reflet de ce que nous avons dépassé avec amour sur la Terre. Plus nous vibrons haut et plus nous avons de possibilité de voyager dans d’autres lieux lumineux.
Il y est dit que des mondes de fleurs existent, des mondes de lumières colorées, des plans de pierres précieuses éblouissantes. Que le Ciel est une lumière bénie, baignant dans une intelligence supérieure infiniment harmonieuse.
Il est vivement conseillé de prier tous les jours, en entrant en relation personnelle avec un Dieu d’amour et à le ressentir de l’intérieur. Que toute prière est utile pour soi ou les autres, et que les actes de bonté sur Terre allument le phosphore de nos cellules permettant d’irradier dans l’invisible… chaque acte de bonté comptant, si petit soit-il.
Ceci correspond à ce que les guides disent lorsqu’ils parlent de nos rayonnements lumineux. Ils ne voient pas nos physiques mais notre lumière intérieure et les barrages qu’il peut y avoir, provoquant des zones d’ombre et donc de souffrances morales ou physiques.
J’ai noté ce bel enseignement : aimer, c’est comprendre les êtres. C’est donner sans rien attendre en retour. C’est donner afin que nos cœurs soient des flammes d’amour qui brûlent le mauvais qui existe tout autour de nous, de façon qu’une seule clarté radieuse nous illumine.
Alors, commençons par donner cet amour à tous, en pensant aussi à soi. A toute notre identité, à nos cellules et à notre vie. Libérons les vieilles mémoires de souffrances et remplaçons-les par des émanations d’amour en comprenant que chaque libération nous élève et nous permet un avenir plus radieux, dans ce plan matériel mais aussi dans la suite de notre vie, lorsque le moment de la transition s’opère.
Car arrivé de l’autre côté, à l’heure du bilan, c’est notre seule vibration qui fait la différence. Personne n’est victime, bourreau ou sauveur… mais une âme qui a eu le temps de faire des choix, de pardonner ou de condamner, de s’élever ou de s’abaisser en s’humiliant ou en se dévalorisant (ou les autres), d’aimer ou d’avoir peur, de partager ou de tout garder pour soi…
Il n’y a pas de Dieu punisseur… nous sommes seuls responsables à 100% des choix d’émotions, de pensées ou d’actions que nous permettons à notre âme de vivre sur Terre et il est possible, à chaque instant présent, de nous transformer librement.
Que la lumière soit !
Joéliah