Ce qui me paraît être une des raisons de l’égarement de nos comportements tant individuels que sociaux, et ce qui nous conduit aujourd’hui hui à nous interroger sur nos modes de vie, d’éducation, de santé, tient je pense essentiellement à une erreur de ” visée” ….une erreur de direction :
Nous avons donné la prévalence au mental sur le cœur…
et nous nous sommes égarés.
S’il ne faut absolument pas remettre en question, nos avancées technologiques, intellectuelles et
savantes,
il serait temps d’y faire palpiter un peu plus nos coeurs.
C’est Albert Einstein lui même qui disait déjà :
” Le problème aujourd’hui hui n’est pas l’énergie atomique,
mais le cœur des hommes…. »
Il faut reconnaître qu’actuellement, la
mise en équation de l’humain,
la standardisation des diagnostics et des “protocoles”
oublie totalement l’individu, encore plus l’Être, au profit du groupe.
Dans le domaine qui est le mien, celui de la santé, les progrès réalisés ont été prodigieux dans l infiniment petit: imagerie médicale, micro chirurgie, ainsi que dans la résolution des pathologies d’urgence: on traite beaucoup plus tôt certaines pathologies et on sauve beaucoup plus de vies….mais la médecine se montre impuissante devant de plus en plus de pathologies chroniques dont l’émergence ne cesse de croître et de plus en plus tôt dans la vie humaine: polyarthrite, diabète, allergies multiples, déficiences immunitaires etc etc.
Ces pathologies chroniques témoignent d’un encrassage de notre système, qui trouve ses causes :
Soit dans des phénomènes de pollution physiologiques qui ne sont pas pris en cause,
Soit dans la négligence de l’impact de nos émotions et états d êtres sur nos corps.
Beaucoup de pathologies chroniques ont été générées par une alimentation
anarchique:
celle des animaux que nous mangeons autant que la notre.
Le profit à court terme a fait perdre la tête à l’homme qui s’est par exemple mis à donner à manger à des vaches des farines d’os broyés de carcasse de moutons…..entrainant une maladie neurologique chez l’animal et ensuite chez l’homme qui s’est nourri de cet animal…et on appelle cela ensuite la maladie de la vache folle!
Je ne crois pas que ce soit la vache qui soit folle, dans ce cas précis, mais bien l’homme…
.... Il y a 2 grands sentiments qui équilibrent ou au contraire déstabilisent notre monde:
Ce sont la peur, et l’amour.
Il est intéressant de noter que dans notre vocabulaire médical, nous employons les termes de combat, de lutte contre la maladie, l’épidémie ou le virus.
De nouvelles ” armes” toujours plus efficaces nous sont présentées. Nous avons des anti….biotiques, viraux, inflammatoires, anti douleurs, anti…tout. Cela revient à nous enfermer dans une dualité bien mal, santé maladie, échec réussite. On a « vaincu »…
.Ceci est un extrait de l'essentiel, pour voir l'article complet aller sur le site de Christine Angelard